Rivacom, la plume du Campus mondial de la mer

exemple magazine

Rivacom accompagne le Campus mondial de la mer pour la partie rédactionnelle de son magazine Sonar. Le 6e numéro vient de sortir et déjà le 7e se prépare. La revue, adressée à tous les acteurs des sciences et technologies de la mer, est diffusée en version française et anglaise.

«  Chaque semestre, nous proposons une thématique, une mise en lumière d’acteurs du territoire que l’on souhaite promouvoir, en Bretagne, en France et à l’international  », explique Jérémie Bazin, responsable de pôle du Campus mondial de la mer. En mettant l’expertise de son pôle Bright en œuvre, Rivacom signe le rédactionnel de ce magazine de 12 pages depuis le premier numéro en 2019.

 

Multicompétences activées  !

 Le Campus mondial de la mer sollicite Rivacom du conseil éditorial à la production de tous les écrits de Sonar, en passant par un travail d’investigation et d’entretien avec les interlocuteurs experts nationaux et internationaux identifiés par le Campus mondial de la mer.

«  L’objectif est de faire ressortir la logique qui est parfois un peu technique. Rivacom nous accompagne pour appréhender des sujets très pointus, très complexes et les vulgariser. En ce qui nous concerne : les sciences et technologies marines. Dans Sonar, on parle de cybersécurité maritime, de pollution par microplastiques par exemple, et Rivacom traduit ces sujets d’expertises en les rendant beaucoup plus accessibles pour tous les lecteurs du magazine  », soutient Jérémie Bazin.

 

Un magazine plébiscité

Produit deux fois par an, ce magazine est une valeur ajoutée au travail du Campus mondial de la mer. Chaque édition s’attache à promouvoir la communauté du Campus, les valeurs partagées, les missions et les actions mises en œuvre, autour d’un dossier thématique en lien avec l’actualité, de nombreuses interviews d’acteurs du territoire, des focus innovations, formations et la prise de parole d’un partenaire international.

«  Nous avons beaucoup de retours de lecteurs, au sein de consulats, d’ambassades ou de laboratoires un peu partout dans le monde. On a eu des courriers du Canada, par exemple, pour nous remercier de leur apporter un contenu qui est riche et actualisé. C’est un magazine qui est bien apprécié et très attendu par nos lecteurs  », termine Jérémie Bazin.

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